Titre de psychothérapeute

URGENT-IMPORTANT-URGENT-IMPORTANT

Procédure à suivre pour déposer un recours auprès du Tribunal Administratif – ATTENTION : il y a des délais à respecter.

1)Aller sur le site de l’AFFOP et cliquer sur la droite dans la rubrique « demande de validation du titre de psychothérapeute. Délais de recours et marche à suivre ».
2)Bien lire et choisir où vous en êtes de votre dossier.
3)En fonction de votre situation : choisir et éditer le modèle qui correspond à votre cas.
4)Remplir le formulaire tel qu’il est pour l’envoyer avec AR à l’endroit indiqué.

Nous vous signalons qu’il existe un accord négocié entre la FF2P et Maitre François Cheneau, avocat, 5 avenue Messine 75008 PARIS Tel : 01 56 59 67 70.

Nous vous conseillons de le joindre directement en vous recommandant de la FF2P pour la prise en charge de votre dossier. Il vous en coûtera 300 € qui pourront être pris en charge par votre assistance juridique si vous en avez une.

MERCI DE NOUS TENIR AU COURANT ET DE NOUS EN FAIRE LE RETOUR ICI, SUR LE BLOG CAR IL SERAIT INTERESSANT QU’ON PUISSE EN  DISCUTER  ENSEMBLE.

La FF2P communique au sujet de l’obtention du titre de psychothérapeute

De nombreux psychothérapeutes ont déposé leur dossier autorisant à faire usage du titre de psychothérapeute dans les diverses ARS.
On estime qu’en Ile de France leur nombre est d’environ 4000.
L’ARS d’Ile de France estime à … 2 ans le temps nécessaire pour traiter  tous les dossiers !
Car chaque dossier doit être examiné, pris en compte informatiquement avant que soit adressé le récépissé de complétude ou la demande de justificatifs complémentaires.

Dans les autres ARS, certains psychothérapeutes ont été autorisés à user du titre, d’autres n’ont été acceptés qu’à condition d’accomplir un complément de formation selon le texte de l’arrêté, une troisième catégorie s’est vu refuser l’usage du titre.
Les personnes constituant les commissions se sont auto autorisées à user du titre de psychothérapeute.

En ce qui concerne la 2e catégorie, rien n’est encore organisé pour que puisse s’accomplir ce complément de formation : aucun organisme, ni public, ni privé, n’est agréé en France, à notre connaissance.
L’ARS d’Ile de France a déjà reçu et examiné une demi-douzaine de dossiers d’instituts de formation. La commission a déjà statué et transmis les résultats au Ministère de la Santé et de l’Enseignement supérieur qui doivent prendre la décision finale.
Il n’y a pas de limite de date pour déposer un dossier de demande de reconnaissance d’une institution.

En cas de refus, dans la 3° catégorie, le psychothérapeute a un délai de deux mois après la date de réception du courrier pour déposer un recours gracieux auprès du préfet de sa région selon le modèle (ci-dessous) établi par Me François Chéneau, l’avocat de notre Fédération.

Monsieur le Préfet, (à l’adresse du préfet qui a signifié
le refus) 
J’ai l’honneur de vous saisir par la présente d’un
recours gracieux à l’encontre de votre décision en date
du ............ par laquelle vous avez rejeté ma demande
d’user du titre de psychothérapeute.
En effet, je remplis les conditions prévues par la loi
pour être autorisé(e) à faire usage du titre du fait
de mon exercice professionnel en qualité de
psychothérapeute depuis plus de 5 ans à la date d’entrée
en vigueur de la loi.
Selon les cas et si les motivations du refus sont
stipulées, exposez les arguments pour expliquer en
quoi l’administration utilise des critères contraires
à la loi. En effet, à partir du moment où on justifie
d’une expérience professionnelle, l’équivalence peut être acquise, cette expérience professionnelle palliant l’absence de diplôme prévu à l’article 6 du décret du 20 mai 2010.
Le dossier que j’avais joint à l’appui de ma demande
démontrait que toutes les conditions légales étaient
satisfaites. Je me permets de souligner que les heures
de supervision constituent en fait des études de cas
de psychopathologie clinique.
En conséquence, je vous remercie de bien vouloir
procéder à un nouvel examen de mon dossier et
m’autoriser à faire usage du titre de psychothérapeute.
Veuillez croire, Monsieur le Préfet,
à l’assurance de ma haute considération.

La loi prévoit que sans réponse dans un délai de 6 mois à partir de la date de l’avis de réception du récépissé de complétude cela équivaut à un refus.Il faut donc calculer ce délai et savoir qu’on dispose de six mois + deux mois à partir de la réception du certificat de complétude pour déposer un recours gracieux en cas de non réponse. Le délai ne court pas tant que vous n’avez pas reçu de certificat de complétude de l’ARS ; pendant tout ce temps, vous pouvez donc continuer à user du titre de psychothérapeute et par exemple continuer de figurer dans les pages jaunes à la rubrique psychothérapeute. Il suffit de demander aux pages jaunes, s’ils ne vous l’ont pas adressé, le document pour certifier sur l’honneur que vous avez bien déposé un dossier à l’ARS.

En cas de non réponse après le dépôt du recours gracieux, le psychothérapeute dispose de nouveau de 2 mois pour déposer un recours devant le tribunal administratif, mais cela obligatoirement avec l’assistance d’un avocat.

Dr Michel Meignant, président de la FF2P, vice-président du WCP
Serge Ginger, secrétaire général de la FF2P, président d’honneur de l’EAP

Passages devant les commissions des ARS

Suite à la demande faite sur la newsletter n°4 (« j’aimerais que celles et ceux d’entre vous qui ont déjà soutenu leur dossier devant la commission de leur ARS m’en envoient un compte-rendu« ), voici des témoignages.

Vous souhaitez apporter le vôtre ?

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L’AFFOP communique :  NOUVELLES INFORMATIONS CONCERNANT L’APPLICATION ADMINISTRATIVE DE LA LOI CONCERNANT LE TITRE DE PSYCHOTHÉRAPEUTE

Analyse commentée du cadre règlementaire qui résulte des textes législatifs

Usage du titre de Psychothérapeute.

En son principe, l’objet de cette réglementation est :

  • de définir les conditions d’usage du titre de psychothérapeute, et non pas de réglementer la pratique professionnelle de la psychothérapie qui demeure libre.
    C’était le thème de notre Journée d’Etude du 22/01/11, intitulée Sauvons la pratique qui mettait l’accent sur notre liberté d’exercice.
  • de constituer un registre national des psychothérapeutes regroupant les registres départementaux publiés par les Préfets des différents départements, sur l’avis des directeurs des agences régionales de santé (ARS) ou de leurs représentants qui détiennent le pouvoir de statuer sur les dossiers adressés par les postulants.

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Compte-rendu de la journée d’étude du samedi 22 janvier 2011 organisée par l’Affop : « Sauvons la pratique »

Nous étions une centaine de participants assez à l’étroit dans une petite salle de l’espace Beauregard dans le 2e arrondissement de Paris, qui est un magnifique hôtel particulier du XVIIIe, siège de l’IDS et également le lieu des cours de la Nouvelle Faculté Libre (NFL) de Jean-Michel Fourcade.
Le matin a été consacré aux questions politiques et juridiques et l’après-midi à l’intervention de Vincent de Gaulejac.
Jean-Michel Fourcade, Président de l’AFFOP et directeur de la NFL (Nouvelle Faculté Libre), Philippe Grauer, Vice Président de l’AFFOP et directeur du CIFP (Centre Interdisciplinaire de Formation à la Psychothérapie Relationnelle) et Arlette Gastine, Secrétaire de l’AFFOP et spécialiste de Reich, nous ont accueillis et régulé les débats, JM Fourcade étant le président de séance.Le matin, était présente Geneviève Mattéï, ancienne avocate, pour nous éclairer sur les questions juridiques.
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TRES IMPORTANT : reconnaissance du titre de psychothérapeute

Merci à notre confrère Gil Stroh qui vient de nous faire passer cette information.
Il est raisonnable de penser que cela s’applique dans chaque département pour toutes les commissions régionales.

l’ARS (agence régionale de santé) du Tarn communique :
voici le descriptif des pièces nécessaires pour établir un dossier ADELI en vue de la reconnaissance du titre de psychothérapeute.

Faire une lettre ainsi libellée:
Je, soussigné (nom, prénom)
né le (date de naissance) à (lieu de naissance) demande à ce que soit reconnu au moins cinq ans de ma pratique de la psychothérapie en application de l’article 16 du décret n° 2010-534 du 20 mai 2010.
A cette fin, je joins à la présente :
1) une lettre manuscrite exposant le motif de ma demande et tous les éléments que je désire porter à la connaissance de la commission régionale prévue dans cet article 16 du décret n° 2010-534 du 20 mai 2010 concernant mes formations, mon expérience professionnelle et ma pratique de la psychothérapie;
2) une copie d’une pièce d’identité en ocurs de validité;
3) une copie de l’extrait n°2 de mon casier judiciaire;
4) une copie des diplômes, certificats ou titres obtenus;
5) un document de l’autorité ayanty délivré ces diplômes, certificats ou titres attestant du niveau de la formation et indiquant année par année le détail et le volume horaire des enseignements suivis;
6) une attestation de la structure de formation spécifiant le contenu, la durée et le secteur dans lequel les stages ont été effectués pendant la formation;
7) toutes pièces utiles permettant d’attester de mon expérience professionnelle ou de ma pratique de la psychothérapie en termes notamment de durée et de modalité d’exercice.
Nota bene: Toutes les pièces justificatives sont rédigées en français ou traduites par un traducteur agréé auprès des tribunaux français.
Je souhaite être entendu par la commission régionale d’inscription en application
OUI  NON

Fait à ….
Signature du demandeur

Une vieille histoire… pas si vieille que ça !

Le 29/9/2005 dans « les dossiers de la FF2P »
Par Edmond MARC : Professeur de Psychologie à l’Université Paris X. Auteur de plusieurs ouvrages  de référence sur la psychothérapie intégrative. Président du Jury dans des Écoles de formation de psychothérapeutes.

Lorsqu’on dit : « C’est une vieille histoire ! », on signifie que tout a commencé il y a bien longtemps et qu’il faut saisir les tenants et les aboutissants du passé pour éclairer le présent. Ainsi, pour comprendre les débats actuels autour du titre de psychothérapeute, il conviendrait d’adopter un regard historique. Car bien des questions soulevées ne datent pas d’aujourd’hui : « L’histoire, comme une idiote, mécaniquement se répète », disait Paul Morand. Cette notion de répétition est familière aux psychothérapeutes. On sait même qu’elle peut devenir compulsive dans la névrose. Le sujet a tendance à répéter des expériences anciennes avec l’impression très vive qu’il s’agit de quelque chose de nouveau et d’actuel.
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L’addiction aux jeux vidéo reste complexe et marginale

Par Tristan Vey, lefigaro.fr le 24/11/2010
Les spécialistes préfèrent parler de «jeu excessif» ou d’ «usage abusif» plutôt que de dépendance. Seuls les jeux en ligne recréant de véritables univers parallèles peuvent mener à des comportements pathologiques, en particulier chez les jeunes.
Peut-on devenir accro aux jeux vidéo? Le comportement de personnes qui passent parfois plus de dix heures par jour devant leur écran à triturer manette ou clavier pourrait le laisser croire. Toutefois, à l’occasion d’un séminaire sur l’addiction et la régulation dans le monde des jeux vidéos organisé par le Centre d’analyse stratégique mardi, médecins et chercheurs spécialisés du domaine ont été unanimes: les cas de jeu excessif sont rares et ne relèvent pas, quelle que soit sa définition, de l’addiction.
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Sauvons la pratique

L’Affop , avec la collaboration du SNPPsy, vous propose de participer à une exceptionnelle journée interactive d’étude et d’échange sur le thème :  SAUVONS LA PRATIQUE ! Samedi 22 janvier 2011, de 10h à 18h.30 (accueil à partir de 9h.30) 6 rue Beauregard – 75002 – Paris – Métro : Sentier ou Bonne-Nouvelle.
Avec la participation des responsables de l’Affop et celles de :

  • Geneviève MATTEI, psychothérapeute relationnelle, ancienne avocate au Conseil d’Etat.
  • Vincent de GAULEJAC, professeur de sociologie à l’UFR de Sciences sociales – Paris 7 – Fondateur de l’IISC (Institut international de sociologie clinique)

Nous réfléchirons ensemble sur les conséquences de la nouvelle législation sur le titre de psychothérapeute.
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A propos du titre de psychothérapeute

Dans sa NewsLetter du 12 Novembre, la FF2P écrit :

A PROPOS DES PAGES JAUNES :

LE GLPR ( Groupe de Liaison de la Psychothérapie Relationnelle rassemble les deux syndicats Psy’G et SNPPsy et les deux fédérations Affop et FF2P.) COMMUNIQUE :
À la suite des pourparlers engagés le 7 octobre avec les Pages jaunes, ces dernières nous confirment qu’elles ont retenu en définitive la proposition de compromis envisagée à leur initiative.
Nos ex psychothérapeutes pourront désormais s’inscrire aux Pages jaunes à la rubrique « Psychothérapie (soins hors d’un cadre réglementé) ». Bien entendu le processus se poursuit.
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