Etudes et recherches

Aperçu des traitements des hallucinations et de leur efficacité

L’originalité des auteurs de cette étude est d’oser prendre des distances par rapport au champ purement médical et d’appréhender les hallucinations à travers différents prismes culturels occidentaux, asiatiques et africains mais aussi à travers les avatars de l’histoire des religions, des théories de la transcendance, des perceptions.

Par Christine DONJEAN, BE Belgique 58, le 10/01/2012

Alors que pendant des siècles, les hallucinations ont fait l’objet d’interprétations religieuses, cantonnées dans le domaine de la mystique, des apparitions, des exhortations et messages divins, on assiste à une médicalisation du phénomène au début du XIXème siècle…

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L’homme est une espèce unique qui passe quinze ans à construire son cerveau

Par nouvelobs.com le 15/10/2011
« L’homme est une espèce unique parmi les êtres vivants qui passait la moitié de sa vie à construire son cerveau » à l’époque des premiers Homo sapiens, explique le neurobiologiste français Jean-Pierre Changeux dans un entretien avec l’AFP.
« A l’époque où l’homme est apparu, il passait dix à quinze ans à faire son cerveau », puis « il vivait dix à quinze années de plus avec ce bagage cérébral », souligne le scientifique, professeur honoraire au Collège de France.

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Les jeux vidéo et les réseaux sociaux modifient le rapport à l’espace, au temps, à la construction de l’identité

Par Serge Tisseron, Le Monde du 28/02/2011
psychiatre et psychanalyste, spécialiste des nouvelles technologies, auteur notamment de « Faut-il interdire les écrans aux enfants ? »  (2009, éd. Mordicus, avec Bernard Stiegler).

Ice Berg : Les « psy » constatent-ils une augmentation des consultations pour des problèmes relationnels ou de comportement liés à l’utilisation grandissante et précoce des écrans ? 

Oui, les psychologues et les psychiatres sont aujourd’hui énormément consultés pour l’usage jugé excessif des jeux vidéo ou des nouveaux réseaux sociaux.

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Multiplication des écrans : ados accros, parents à cran

Aux yeux du psychiatre, psychanalyste, Serge Tisseron, ces écrans sont des  »accélérateurs de particularismes ».

Par Pascale Krémer, Le Monde du 28/02/2011

Parents, comment régulez-vous l’usage grandissant des écrans par vos enfants et adolescents ? Très franchement, en lançant cet appel à témoignages sur Le Monde.fr, il y a quelques semaines, on se doutait bien que le sujet vous inspirerait. Vous réunissez deux parents d’ados, de quoi parlent-ils ?

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Les parents des jeunes toxicomanes ont besoin de soutien

Le mal-être de certains adolescents peut les conduire à la consommation de drogues. Leurs parents restent souvent trop seuls, dans une souffrance incomprise.
Par Christine LEGRAND, la-croix.com le 18/11/2010
Rares sont les parents qui osent dire aujourd’hui à leur entourage, même proche, que leur enfant boit trop d’alcool, fume régulièrement du cannabis et encore moins qu’il est dépendant à l’héroïne, au risque de se sentir jugés ou de se voir asséner des conseils souvent déplacés : « Vous n’avez pas su exercer votre autorité. »

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Ces parents «amoureux» de leurs enfants

Les analystes et pédopsychiatres ont eu à cœur de bien analyser les différences nécessaires, parce que structurantes ou non pour l’enfant, entre amour parental et amour amoureux.
Par Pascale Senk, lefigaro.fr du 20/09/2010

Ils les regardent avec des étoiles dans les yeux et les adulent. Qu’arrive-t-il donc à tous ces «gagas» de leur progéniture?
Scène du quotidien qui peut étonner: dans un restaurant, une petite fille de sept-huit ans s’installe sur les genoux de son père. Lui est en pleine conversation…

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La co-parentalité est un leurre

La co-parentalité est un leurre nous dit Aldo Nouari dans son dernier livre « Les belles-mères, les beaux-pères, les brus et les gendres » ; il revient sur la place du père à travers le personnage de la belle-mère, gardienne de la place conférée au fils. Entretien.
Par Recueilli par France Lebreton, la-croix.com le 04/10/2011

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Comment concilier les démarches « psy » et « spi »

Par CLAIRE LESEGRETAIN, la-croix.com le 03/06/2011

De nombreux chrétiens qui suivent une psychanalyse ou une psychothérapie ont également un accompagnateur spirituel. Certains préfèrent se tourner vers des sessions de guérison intérieure.
« Sur huit, nous sommes cinq actuellement en analyse ou en thérapie », confie l’un des membres d’une équipe parisienne de la Communauté vie chrétienne (CVX), mouvement laïc de spiritualité ignatienne. C’est pourquoi une deses réunions mensuelles a été consacrée à partager et à prier sur les incidences d’une telle démarche.

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L’impact psychologique des traumatismes et son traitement

Par Jacques Van Rillaer – SPS n° 294, janvier 2011
Jacques van Rillaer est professeur émérite de psychologie à l’université de Louvain.

« Que laisser de côté et que garder ? C’est tout le problème » [1]

La grande majorité des êtres humains et des animaux subissent au moins occasionnellement des situations stressantes ou traumatisantes. Les effets psychologiques de ces situations ont été relativement peu étudiés avant les années 1970. La principale impulsion à leur étude scientifique a été apportée par les troubles présentés par de nombreux vétérans de la guerre du Vietnam. Bien évidemment, des auteurs avaient déjà décrit des conséquences de traumatismes.

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Quand les psys brisent le silence. L’empathie entre thérapeute et patient, l’implication personnelle et les encouragements rendent aujourd’hui le « psy» plus humain et plus proche.

Par Christophe André, Cerveau&Psycho – n° 45 mai – juin 2011
Christophe André est médecin psychiatre à l’Hôpital Sainte‐Anne, à Paris

Bienvenue à une première session de thérapie de groupe dans le Service hospitalo‐universitaire de l’Hôpital Sainte‐Anne, à Paris. Les patients aujourd’hui réunis souffrent tous de phobie sociale, cette forme de timidité maladive etgrave, qui les conduit à fuir toute occasion d’échange avec les autres, et à ne jamais prendre le risque de se mettreen avant ou de parler de soi. Avant que les patients ne commencent à se présenter, le psychiatre animateurdemande à ses stagiaires psychologues de le faire en premier.

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