Les membres de l’AAPO s’engagent à :
Respecter la règle du secret professionnel.
Se soumettre régulièrement à la supervision de leur pratique, pour éclairer son rôle, sa place et ses propres mouvements contre-transférentiels.
Laisser au thérapisant son libre-arbitre.
Utiliser des méthodes respectueuses et non-violentes.
Respecter la règle du non-passage à l’acte (violences physiques ou acte sexuel).
Établir des rapports d’argent clairs.
Donner à toute publicité un caractère strictement informatif.
Prendre en compte, dans l’intérêt du thérapisant et par respect d’un collègue, toute relation psychothérapeutique engagée avec un autre professionnel.
Indiquer éventuellement au thérapisant une méthode mieux adaptée à son cas, ou complémentaire.
Dans le cas où l’analyste psycho-organique utilise des techniques de toucher ou de contact, il doit être très attentif à limiter ses interventions dans le respect d’une attitude juste, en fonction des limites du processus thérapeutique et de son devoir de respecter les croyances et l’intimité du thérapisant.
Être analyste psycho-organique exige une conscience exigeante de soi :
En plus d’une formation longue et sérieuse dans un institut ou une école reconnue par la FF2P, les membres de l’association ont tous suivi une psychothérapie ou une psychanalyse pendant une longue période avec le même professionnel et sont toujours vigilants à leur processus psychique personnel.