Quand les psys brisent le silence. L’empathie entre thérapeute et patient, l’implication personnelle et les encouragements rendent aujourd’hui le « psy» plus humain et plus proche.

Par Christophe André, Cerveau&Psycho – n° 45 mai – juin 2011
Christophe André est médecin psychiatre à l’Hôpital Sainte‐Anne, à Paris

Bienvenue à une première session de thérapie de groupe dans le Service hospitalo‐universitaire de l’Hôpital Sainte‐Anne, à Paris. Les patients aujourd’hui réunis souffrent tous de phobie sociale, cette forme de timidité maladive etgrave, qui les conduit à fuir toute occasion d’échange avec les autres, et à ne jamais prendre le risque de se mettreen avant ou de parler de soi. Avant que les patients ne commencent à se présenter, le psychiatre animateurdemande à ses stagiaires psychologues de le faire en premier.

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