Aux commandes d’une énorme machine, cet homme de contact gère la pression avec calme, mais sans brider son tempérament.
L’année écoulée n’aura rien épargné à Guillaume Pepy. Aux grèves de septembre a succédé la neige et son cortège d’incidents. Puis vint la repentance sur le rôle joué par la SNCF dans la déportation de 20.000 juifs durant la dernière guerre. Et, enfin, les vols de cuivre et les sabotages.
Pour le patron de la SNCF, « les crises obligent à rester serein »
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